Albert x faded smiles.



 
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 Albert x faded smiles.

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Albert Gillespie

Lucifel's Bitch
Albert Gillespie
♣ Lucifel's Bitch ♣


Rang : Baron
Totem : Merle
Messages : 381
Age : 30
Pseudo : Nynh

Once upon a time
Âge du personnage: 15 ans.
Date d'arrivée à Cloverfield: 12 mai 1934.

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MessageSujet: Albert x faded smiles.   Albert x faded smiles. Icon_minitimeMar 14 Aoû - 1:10

PREDEF


Say where is my shame.
"Feat. Regulus Black"


Albert x faded smiles. V4Law
▬ ÂGE : 15 ans
▬ DATE DE NAISSANCE : 13 avril 1926.
▬ CATÉGORIE : Rafined Class.
▬ RANG : Baron.
▬ DATE D’ARRIVÉE A CLOVERFIELD : 12 mai 1934.
▬ PÉCHÉ MORTEL : La Paresse.
▬ TOTEM : Le Merle.



I will do you harm.
The dice was loaded from the start.

Les doigts osseux d’Albert Gillespie s’étaient nerveusement noués autour de son genou. Il considérait d’un œil attentif l’assemblée des Orphelins, assis en bas du trône du Prince, le regard absent. Du Baron, on savait peu de choses, dans le fond, et s’il n’était pas exactement mystérieux, il conservait avec un naturel presque indécent une distance vis-à-vis des autres. De ce fait, la plupart des habitants de Cloverfield n’avait d’autres images de lui que le très protocolaire et professionnel aristocrate qui remplissait, modifiait, rangeait et corrigeait tous les registres avec un méticuleux soin. De fait, Albert Gillespie était un Aristocrate silencieux et attentif. Peu porté sur la délation ou la cruauté délibérée, on le trouvait souvent pensif et effacé, absent, peut-être un peu, lymphatique, sans doute. Il n’en faisait pas moins parti de la tête de l’orphelinat et entendait être reconnu par son rang. S’il ne prisait pas le sadisme, il haïssait le manque de respect et n’hésitait pas à le faire comprendre à qui osait le provoquer de la façon la plus claire et concise possible. Gillespie était comme ça, dans le fond. Un monstre de précision et d’efficacité qui ne laissait que peu de place à l’imprévisibilité et à la spontanéité. Tout était chronométré, calculé, tout était fait pour bien fonctionner et Albert se tenait à son programme avec une minutie empruntée. Si ce n’était pas la partie la plus sociable de sa personnalité, il n’en restait pas moins que, généralement, il s’agissait de la partie à laquelle on préférait se frotter. Et pour cause.

Si Albert était quelqu’un de loyal et de fidèle, de tempéré et d’obéissant il n’en restait pas moins un enfant. Comme tous les enfants, il ne pouvait s’empêcher de tester les limites du bout des doigts, de s’amuser ou de se moquer. L’environnement à Cloverfield était tel qu’il aurait été étrange qu’il échappe complètement à ce travers. De fait, ça n’était pas arrivé. Hors de ses heures de travail, Albert Gillespie était nettement moins carré et distant. Sale gosse, voir peste, on le trouvait un peu sarcastique et fourbe, louvoyant avec habilité pour se moquer des gens ou les rabaisser. Ce n’était pas par lâcheté : Gillespie était de ces garçons qui regardaient sans frémir les monstres droit dans les yeux, qui passait des heures sur la souche d’arbre, qui taquinait Lucifel à demi-mots sans s’inquiéter de ses colères. Ce n’était, donc, pas de la lâcheté. Simplement il appréciait de regarder peu à peu le visage des gens se décomposer alors qu’ils saisissaient peu à peu ses sous-entendus. Les visages des gens avaient toujours été une source incroyable de curiosité pour le garçon : tout petit déjà, il appréciait fixer les gens des minutes durant pour saisir avec une délectation peu commune toutes les légères variations de leur trait. Très vite, apprendre à générer chez eux les expressions qui l’amusaient le plus était devenu une activité quotidienne. Sans se vanter, il était plutôt doué. Il excellait de même à feindre la parfaite indifférence, un sourire moqueur sur les lèvres. Outre le fait que cela pouvait être franchement énervant — qui apprécierait après tout d’être fixé sans raisons d’un air passablement méprisant ? — cela restait aussi pour lui le meilleur moyen d’arracher les informations qu’il souhaitait en déstabilisant ses interlocuteurs. Cela ne marchait pas toujours, certes. Cela l’amusait quand même.

Les lèvres d’Albert Gillespie s’étaient pincées alors que l’orphelin projeté au milieu de la pièce écoutait avec une attention tremblante sa sentence prononcée. Il avait jeté un regard en coin à Lucifel, avait cherché sur son visage la quelconque trace d’une expression autre que la joie malsaine. Il n’avait rien trouvé. Sans un mot, il s’était détourné. Albert était comme ça, aussi, silencieux et attentif. Trop silencieux peut-être, sans volonté d’opposition. Il observait sans s’émouvoir, il contemplait sans un mot. Et même s’il n’approuvait pas les sentences trop dures ou injustifiées, il n’affectait toutefois pas de faire changer les choses. Ça ne le concernait pas, pensait-il, assis au bas du trône avec une sorte de désinvolture épuisée. Il ne souhaitait pas que ça le concerne. Se soucier des autres dans le monde clos qu’était Cloverfield était une aberration, la porte ouverte à la folie et Albert n’était pas le genre à risquer sa tête pour celles des autres. Certainement pas. Profondément individualiste tant que profondément incapable de perdre son temps à ce qu’il considérait comme une stupidité, il se moquait éperdument de ce qui pouvait bien se passer pour les autres tant que ça ne l’affectait pas. Ainsi, il était distant avec la plupart, ne se mêlait pas ou peu avec les autres, ne laissait rien filtrer de son passé ou de ses pensées. Avoir le moins d’attaches possibles lui semblait être le meilleur moyen de survivre, le meilleur moyen de garder la tête hors de l’eau. Il s’appliquait avec une ferveur peu commune à effectuer un tri drastique dans les gens qui l’approchaient et excluait systématiquement de son cercle de fréquentations les trop jeunes ou les trop démunis, tout ceux qu’il risquait de prendre en pitié, les filles trop jolies ou les garçons trop entreprenants, tant de pièges affectifs dans lesquels ils risquaient de s’échouer. Il menait sa vie comme on fait de la géométrie, en établissant des règles pour lesquelles il ne tolérait pas d’exception et subissait les dites exceptions comme des fatalités dérangeantes mais impossibles à éviter.

Parce qu’évidemment, des exceptions, il y en avait. Albert Gillespie, tout baron qu’il était, n’était jamais qu’un enfant.


I will break my arm.
"Don't you want to feel my bones ?"

Un simple petit questionnaire pour mieux connaître votre personnage et son sentiment sur la vie à l'orphelinat.
  • Que pensez-vous de la Royauté ? Si Albert est loin d'approuver tout ce que fait la Royauté, il ressent pourtant une indéfectible fidélité vis-à-vis du Prince et préfèrerait mourir que de le trahir. Théoriquement, ce sentiment s'étend à la Royauté dans sa globalité même si dans les faits, il est certain qu'il est ni plus ni moins un homme du Prince et que la trahison ne fera jamais parti de ses options.
  • Que pensez-vous de l'Aristocratie ? S'ils n'approuvent pas les méthodes et le comportement de chacun, ils restent ses collègues, ni plus ni moins, et il les juge au cas par cas. Il peut tout aussi bien en apprécier un qu'en haïr un autre mais il est certain que, dans tous les cas, il les traite chacun avec la même politesse et le même respect, dans le plus parfait professionnalisme.
  • Quel est votre sentiments sur Le Sycophante et les Remords ? Au début, comme toute personne un tant soit peu saine d'esprit, ils lui faisaient peur. Avec le temps, ce sentiment s'est estompé, et ils font plus ou moins parti du décor pour lui. Il n'apprécierait certes pas de tomber dans une embuscade de Remords mais ne la craint plus au point de se retourner tous les trois pas pour surveiller ses arrières.
  • Quel est l'investissement de votre personnage dans la course aux privilèges ? Depuis toujours et même avant d'être Baron, Albert a toujours tout fait pour plaire à la Royauté. Ce n'est pas tant une question de privilèges que de chercher à se rendre utile et en matière d'utilité, Gillespie a toujours été brillant. De ce fait, même s'il ne court pas après les privilèges, il reste tout de même quelqu'un de plutôt impliqué là-dedans.


I'm a victim of your charm.
"I don't really like you."

Le parquet du manoir Gillespie grinçait sous les pieds nus de l’enfant. Il avait retenu son souffle lorsque l’orage avait éclaté, écoutant avec attention le bruit des gouttes qui s’écrasaient sur les vitres. Il avait compté jusqu’à trois dans sa tête avant de se mêler plus profondément aux ombres qui avait envahi la maison avec la nuit. Le manoir était plein de bruissements et de gémissements, de pleurs et de douleurs et l’enfant, par curiosité, peut-être, avait parcouru silencieusement les pièces vides et emplies de poussière à la recherche de ses parents. Quelque chose se préparait. Quelque chose d’autrement plus inquiétant que l’orage. L’atmosphère suintait la Mort. Il avait regardé par l’entrebâillement de la chambre de ses parents. Il en eut la gorge nouée.

De tous temps, le manoir Gillespie avait trôné sur cette colline battue par les vents, perchée dans un équilibre précaire et un peu inquiétant. On se souvenait encore, dans le coin, de la magnificence de la demeure et de la grandeur de cette famille, décatie par des décennies de luxe et d’excès en tout genre. À présent, il ne restait plus que les fantômes des gloires passées et les soieries poussiéreuses des orgueils infantiles des survivants ; Albert Gillespie en était l’héritier. Il l’était devenu à sa naissance, lorsqu’il était né garçon plutôt que fille, fils ainé et unique, qui plus est, le dernier des Gillespie, le dernier héritier, celui qui portait tout le poids d’une famille agrippée désespérément à une richesse passée. Ils étaient vanité, mais cela, Albert l’avait compris bien plus tard. Pourtant, il gardait de sa mère le souvenir d’une femme aimante et dévouée et il croyait se souvenir de la tendresse de sa joue contre la sienne et de ce rire cristallin qui résonnait à s’en briser sur tous les murs de leur maison. Quand il songeait à son père, il entrapercevait les bribes du grand homme qu’il fut, de l’homme volontaire et engagé qu’il était, de celui qui jamais ne baissait les yeux devant personne. Il pensait s’en souvenir, oui, bien sûr. On pensait toujours se souvenir de ces choses-là. La vérité était qu’Albert ne se souvenait de rien de ces jours-là. Tout ce qui vivait dans sa tête s’était produit après. Tout ce qui persistait était la douleur. Il n’en parlait jamais.

Sa mère était morte, ce jour-là. Son père aussi, peut-être, par extension.

Avec le temps, le visage de cette femme s’était lentement effacé. Son prénom aussi, tout doucement. On n’en parlait jamais à la maison, comme un secret maudit, l’horrible réalisation de la fébrilité de l’existence humaine. Il se rappelait pourtant, confusément, comment son père l’avait retrouvé, du haut de ses trois ans, en larmes et dans l’entrebâillement de la porte, comment il avait vu le corps sans vie de sa mère et comment il pleurait à s’en fendre la gorge. Il se souvenait du drap souillé et du sang qui coulait lentement sur le parquet, ce sang rouge foncé et lent qui gouttait au même rythme que la pluie. Il se souvenait de l’odeur, de l’odeur écœurante et étouffante, de cette odeur qui avait semblé s’infiltrer lentement dans chaque pouce de son corps. Il se rappelait avoir vomi, aussi, à force de pleurer. Il avait fermé les yeux après. Tout ça s’apparentait à une boucherie. On lui avait raconté comment on avait sauvé le bébé, on lui avait dit que tout irait bien. On avait menti, évidemment, on mentait toujours aux enfants. On leur disait que la vie reprenait. La vie n’était jamais repartie au manoir Gillespie.

Fut un temps, les seules personnes autorisée à franchir le pas de la demeure étaient le précepteur payé pour éduquer Albert et la nourrice chargée de s’occuper du bébé. Son père n’apparaissait jamais pour les accueillir, son père ne sortait presque plus de sa chambre, dans le fond. Le manoir semblait avoir été gelé à la mort de cette femme ; les taches de sang sur le parquet ne disparurent jamais.
Albert, malgré tout, se révéla être un élève doué. Enfant tranquille et docile, il ingurgitait les savoirs avec une avidité que le précepteur soupçonnait de découler d’un désespoir de vivre. L’enfant se mourrait, blotti dans le froid et le silence du manoir. L’enfant se désagrégeait lentement. Chaque jour, il luttait contre l’apathie et le désintérêt, chaque jour, il faisait des efforts incroyables pour rester alerte et pour continuer de vivre. Il se plongeait dans des livres qui n’étaient pas de son âge, il voyageait dedans à défaut de pouvoir sortir de cette maison qui s’était peu à peu transformée en prison. Sa chambre pleine d’ombre était devenue un refuge et ce coffre à jouet éventré qui s’appuyait contre le mur, son coffre fort. Il y avait soigneusement enfermé tous les souvenirs des temps heureux, les bouquets de fleurs séchés de sa mère et les vieilles photos en noir et blanc, les petits mots qu’elle écrivait pour étiqueter les pots de confiture et les rubans qu’elle accrochait dans ses cheveux. Il y avait jeté ses livres préférés et les lettres d’amour qu’elle avait conservé du temps où le père d’Albert lui faisait la cour. Il avait soigneusement tout entassé avant que son père ne rafle le reste, jetant tout dans la cheminée dans un ultime geste de désespoir.

Sa femme était partie, seuls restaient les enfants. Il ne pouvait l’accepter.

Étrangement, s’était plus tard dit Albert, son père n’avait jamais tenté de se suicider. C’était un homme détruit mais un homme fier, jamais ne se serait-il sans doute aller à ce genre de choses. Il n’avait pourtant que neuf ans lorsque son père mourut à son tour, emporté par une attaque cardiaque, le laissant avec sa sœur Caprice, seul et sans option, héritier d’un océan de dettes et de rancœurs. La mort de son père ne l’affecta pas. Pas autant qu’elle l’aurait du, en tout cas. Pour lui son père était mort bien des années avant. Ce n’était pas important. Ils étaient dehors, à présent. Il allait falloir apprendre à survivre.
Très vite, il devint évident que le reste de leur famille, pléthore d’oncles et de tantes qu’il n’avait jamais connu que de noms, n’accepterait jamais de les recevoir sur leurs toits. « Orphelins » c’est comme ça qu’on les avait appelés. « Les petit orphelins de la famille Gillespie » répétait-on avec pitié. Ça avait énervé Albert. Même sans parents, ils s’étaient toujours débrouillés. Très vite, pourtant, ils furent envoyés à l’Orphelinat Cloverfield. C’était la fin du Printemps et en d’autres temps la campagne aurait été belle. Elle n’était pourtant que tristesse à ses yeux. Tristesse et fatalité.

Ils avaient été abandonnés dans cet endroit comme deux poids dont il fallait se débarrasser. Il allait falloir s’y faire. Il allait falloir faire ses preuves pour subsister. Très vite, Albert se révéla être un enfant peu contraignant et fiable. Rapidement, il s’habitua à devoir se débrouiller seul et à ne pas se laisser marcher sur les pieds. D’une certaine façon, ça ne changeait rien à ce qu’il faisait avant : seul le lieu était différent. Il s’écoula presque six ans sans heurts. Et puis un jour Lucifel Sveinsson arriva.

Si Albert devait dater le début des ennuis il l’aurait daté du jour où ce gamin entra dans le monde clos de l’orphelinat. Peut-être n’avait-il rien à voir avec ce qui se produisit, sans doute, même, mais Albert ne pouvait s’empêcher de penser que Lucifel avait été l’étincelle qui mit le feu aux poudres. Il puait la pourriture et le danger et c’est peut-être cela qui l’avait alerté et ferré. Cela ou autre chose. Sa curiosité fut piquée. Après cela, plus rien ne fut pareil. Quelques mois plus tard, les adultes disparurent. Les adultes de la vie d’Albert avait toujours eu la manie déplorable de disparaître aussi ne fut-il pas excessivement surpris. La mise au pouvoir de Lucifel ne fut pas plus une surprise. Il n’était ni plus ni moins qu’une araignée et c’était tout l’orphelinat que dans sa toile il avait englué. Un coup de maitre, assurément. Albert avait voulu gouter lui aussi aux sommets.

Rapidement, il avait été nommé Baron tant sans doute à cause de son calme et son organisation que de cette fâcheuse histoire de douche où le Prince fut impressionné par la taille de son pénis. Quelle que soit la raison, Albert s’en moquait pas mal dans le fond, de la même façon dont il se moquait de n’être pas en accord total avec la politique despotique menée par le gamin. Pour la première fois de sa vie, il avait un rôle de premier plan et ses mérites étaient reconnus.

Le reste n’était pas important.



Nynh.
"Don't you want to come with me ?"


Albert x faded smiles. BjgoO
▬ Âge : 19.
▬ Sexe : F.
▬ Double compte ? Pas encore ~
▬ Comment avez vous connu le forum ? Eeeeh. On se demande.
▬ Qu'en pensez vous ? Voyez vous des améliorations à apporter ? OUI. IL FAUDRAIT DES COOKIES. POUR TOUS LES INSCRITS. LIBÉREZ LES COOKIES.
▬ Autre chose ? Une petite danse pour fêter tout ça. \o/ (o) (o( /o\
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Lucifel J. Sveinsson

Bitch plz
Lucifel J. Sveinsson
♣ Bitch plz ♣


Rang : Prince.
Totem : Corbeau.
Messages : 806
Age : 31
Pseudo : Stonefox.

Once upon a time
Âge du personnage: 12 ans.
Date d'arrivée à Cloverfield: 4 Octobre 1940.

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MessageSujet: Re: Albert x faded smiles.   Albert x faded smiles. Icon_minitimeSam 15 Sep - 14:23

PENIS

Albert, t'es une pute, j'te valide pas parce que t'as dit que je puais la pourriture D: (c'est vrai mais c'est pas une raison pour le dire !)
Non, mon seul regret sur cette fiche c'est de pas être à côté de toi pour tout relire en rajoutant le mot "bite" un peu partout comme je l'avait fait pour son caractère. Allez, va jouer, sale chose pleine de puces et de moustaches et de coussinets !

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Albert Gillespie

Lucifel's Bitch
Albert Gillespie
♣ Lucifel's Bitch ♣


Rang : Baron
Totem : Merle
Messages : 381
Age : 30
Pseudo : Nynh

Once upon a time
Âge du personnage: 15 ans.
Date d'arrivée à Cloverfield: 12 mai 1934.

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MessageSujet: Re: Albert x faded smiles.   Albert x faded smiles. Icon_minitimeSam 15 Sep - 14:34

PENIS

Hey je dis ce que je veux d'abord c'est ma fiche D8 (Oh oh oh j'aurais tellement aimé que tu le fasses aussi ;A; je vais me venger en la passant au débilitron.)

♥♥
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MessageSujet: Re: Albert x faded smiles.   Albert x faded smiles. Icon_minitime

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