Ed Flat
♣ Jardinier ♣
Rang : 5 Totem : Musaraigne Messages : 64 Age : 32 Pseudo : Zèbre
Once upon a time Âge du personnage: 12 ans Date d'arrivée à Cloverfield: mai 1941
| Sujet: Ed Flat - Beyoncé à l'orphelinat Dim 7 Avr - 19:03 | |
| Edit L ; Je m'occupe de cette fiche~ <3Je suis beau.
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Shut up you bastard. "Feat. Connor d'Assassin's Creed (enfant)"
| ▬ ÂGE : 12 ans ▬ DATE DE NAISSANCE : 20 janvier 1929. ▬ CATÉGORIE : Orphan. ▬ RANG : 5 ▬ DATE D’ARRIVÉE A CLOVERFIELD : août 1941 ▬ PÉCHÉ MORTEL : La colère. ▬ TOTEM : La musaraigne
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I will do you harm. "Tare ta gueule à la récré." Un caractère exécrable, une petite poupée adorable, un enfant capricieux ? Ici, nous voulons savoir les moindres détails concernant le caractère de votre personnage. Ses plus petits défauts, c'est fâcheuses manies, bref. Tout. 20 lignes minimum. Oh, ce n'était pas un caniche apprivoisé, ni même quelque chose que l'on pouvait se plaire à caresser du bout de doigts. Ed « Edward » Flat était quelqu'un de sauvage, qui grognait et mordait dès que l'envie – ou plutôt l'inverse – lui prenait. Cette personne avait d'ailleurs toujours été très réservée, avant d'arriver dans cette orphelinat, elle n'avait pas pour habitude de prononcer un mot de trop. C'était conforme à son éducation, et puis depuis ses dix ans, elle avait vécu parmi les adultes. Si, au début, elle se comportait tout autrement, le martinet avait suffi à la faire renoncer à montrer des dents. Parfois, il y avait bien des dîners, des déjeuners où les enfants des autres familles étaient présents, mais les discussions s'arrêtaient aux présentations officielles. Aussi le caractère infernal de Ed se réveilla de nouveau une fois arrivée à Cloverfield. Du jour au lendemain, elle se retrouva au beau milieu de gamins d'à peu près son âge qui bougeaient, parlaient, échangeaient. L'enfant reprit ses habitudes des bas fonds, s'il avait été irritable, pendant qu'il ne se la ramenait pas pendant les dîners, il ne causait pas. Là, il n'hésitait pas à donner des coups, se bagarrer avec des enfants de même rang ou inférieur à lui. Il était colérique, prêt à faire n'importe quoi pour sortir de là. Il ne comprenait pas non plus pourquoi certains avait le pouvoir et d'autres non mais il s'y était résolut. Sa précédente vie lui avait bien montré que les choses ne se passait parfois pas comme on le voulait, alors il s'y était habitué, montrant toutefois une hargne certaine. Sous ses grimaces perpétuelles, il était tout de même intelligent. Pendant les deux années où il avait eu des gouvernantes, l'enfant avait appris à lire, à compter. Et il se débrouillait pas trop mal, grâce à cette envie de s'en sortir dans la vie, de faire quelque chose et qu'on lui foute la paix, surtout. Par contre, il fallait reconnaître que sourire, ça, il ne savait pas vraiment le faire. Quand on le forçait, l'enfant pouvait étirer ses joues de manière à faire ressortir ses dents blanches (ou jaunes selon les endroits). Quand on le forçait, il pouvait même sembler présentable, mais là, à l'orphelinat, il se complaisait à ressemblait à un grand épouvantail qui avait tout de non féminin. Il avait haï être habillé de ces robes à froufrous, porter des rubans dans ses cheveux et être maquillé. Ce n'était pas demain la veille qu'il laisserait quelqu'un s'occuper de son apparence de nouveau. Juste un dernier point : cet orpheline...dont il ne se souvenait jamais le nom...une blonde. Elle, elle savait qui il était. Il en avait peur, il n'avait pas envie que tout le monde sache la vérité. Elle avait découvert son secret car elle l'avait reconnu d'avant...à elle, il obéirait. Mais avec hargne. I will break my arm. "Ich weiss nicht, was soll es bedeutet, dass ich so traurig bin" Un simple petit questionnaire pour mieux connaître votre personnage et son sentiment sur la vie à l'orphelinat. - Que pensez-vous de la Royauté ? 3 lignes minimum. L'enfant ne respectait pas grand monde, du moins dans sa tête. Tout humain était un humain, point. Les différences sociales, au fond, elle s'en foutait mais...mais elle avait toujours vécu dans une société de caste. Et même parmi les enfants, à cause des monstres, des castes, il y en avait, qu'on le veuille ou non. Alors elle s'y était accommodée. Elle baissait la tête en les voyant, ne faisant rien devant eux qui puisse mettre son rang ou même son corps en péril. Elle n'était pas idiote, loin de là.
- Que pensez-vous de l'Aristocratie ? 3 lignes minimum. C'était pareil pour ce qui était de l'aristocratie...un peu moins, cependant. D'expérience, elle savait que les rois et reines n'appréciaient que mieux leur statut si ils voyaient que les rangs un peu en dessous d'eux étaient traités d'une autre manière. Si elle était respectueuse en leur présence, elle les regardait tout de même dans les yeux et...si, si ô grand jamais, l'un d'eux osait la frapper, elle ne gênerait pas pour foncer sur un de ces impudents pour lui refaire le portrait à coup d'ongles mal coupés et tous pleins de terre.
- Quel est votre sentiments sur Le Sycophante et les Remords ? 3 lignes minimum Elle a peur. Peur de tous ces monstres, peur de ces ombres, ces créatures imaginaires qui peuplaient avant les livres qu'on lui lisait pour son éducation. À moins que quelque chose ne la pousse, si elle en voit en vrai, elle ne pourra remuer le petit doigt, restera immobile et se mettra peut-être à pleurer. Après tout, elle reste une gosse et les gosses ont peur des monstres. Même si elle se donne des allures d'homme fort, elle n'en reste pas moins un enfant.
- Quel est l'investissement de votre personnage dans la course aux privilèges ? 3 lignes minimum. La course au privilèges ? Elle y participe activement, avec ardeur. Manquer de bouffe, elle connaît, c'est pourquoi elle veut le plus de choses possible, même si les méthodes ne sont parfois pas très légales. Voler, elle sait faire, elle a déjà fait. Et elle est bien motivée pour sortir de là...mais en attendant, elle se dit qu'elle doit être dans la meilleure forme possible.
I'm a victim of your charm. "Im abendsonnenschein." Jolie petite histoire. Raconte nous son passé, son vécu, son enfance. Tous les moments importants de sa vie nous intéressent. 50 lignes minimum. La petite mort sévit dans les bas quartiers de Londres. Là, un facteur s'est trompé de chemin : mal lui en fut, sa dépouille gît abandonnée sur le fossé. Ici, cette femme a été assassinée par des fripouilles. Les corbeaux s'occupent déjà de ce qu'il reste comme viande tandis que les coquins ont depuis longtemps fui au loin, avec comme seul butin un petit bout de pain. Là-bas, une pauvre femme au visage cachée par un châle s'est écroulée dans la boue. Quelques badots l'observent, deux ou trois vont la soutenir tandis que des gosses courent autour d'elles comme les mouches le feraient avec une vache. Des hurlements retentissent. Du sang. Un gosse vomit dans un égout.
Année 1927. Ainsi commence l'histoire de Ed « Edward » Flat. Il ne sera pas plus grand que les autres, pas plus intelligent ni plus beau. Juste un gamin paumé de plus qui, pour ses premières années, aura pour lui tout seul un terrain de jeu immense : la ville de Londres. Edward ne savait pas comment il était né, ni dans quelles circonstances : il s'en tenait aux faits, et les faits disaient qu'il était orphelin. Ils s'étaient réunis, avec quelques mômes qui étaient dans la même situations que lui, et survivaient dans les égouts en vivant de petits chapardages, en cambriolant les maisons des personnes parties au loin. C'était une vie difficile et trouver du pain tous les jours n'étaient assurément pas une chose facile, plus pour Edward que pour les autres. L'abolition de l'esclavage datait de plus d'un demi-siècle, mais certaines personnes n'étaient pas prêtes à accepter un gamin comme lui, surtout le fruit certain d'une femme noire et d'un homme blanc.
C'est ainsi que la vie poursuivit son cours. Dans ces temps-là, Edward n'avait même pas de prénom. On l'appelait « le rat », « musaraigne », à cause de sa capacité à se faufiler partout. Lui aurait préféré le surnom de gorille, car il aimait se retrouver dans des rixes. Car oui, Edward était sujet à de violentes colères, et les bandes de gosses trouvaient souvent des adversaires en la personne d'autres bandes de gosses. La bataille la plus impressionnante qu'il connut eut lieu un soir, sur les rives de la Tamise. Un groupe de gosse l'entourait et il avait foncé dans le tas, comme un taureau. Il avait fait une prise au premier qu'il avait vu, un espèce de petit gorille et lui avait mordu le cou jusqu'à ce que l'enfant le supplie de le lâcher. Sa bande était enfin arrivée et, finalement, les policiers étaient accourus de partout pour capturer les garnements.
Oui, la police. Second élément de la vie de Musaraigne. La police était l'institution que les gosses ne cessaient de fuir : avec ce mot régnaient les menaces de l'orphelinat, du martinet, de la séparation. Et les gosses, ils s'occupaient d'eux-mêmes, ils aimaient plus que des frères leurs amis – le petit dernier avait trois mois. Ils l'avaient ramassé au coin d'une rue. C'est ainsi que la police fit son intervention dans la vie de Ed...et il ne fut pas dur à choper. Frêle crevette de 10 ans, ils eurent juste à balancer le filet et il y fut pris. Ils n'écoutèrent pas les hurlements de leurs jeunes prisonniers, ni les insultes, rien. Ils se contentèrent de les balancer dans une voiture, un par un.
Il ne passa pas beaucoup de temps à l'orphelinat. Par chance...ou dans son pire malheur, le policier qui l'avait ramassé avait pris le médaillon qu'il avait à son cou, lequel appartenait jadis à sa défunte mère. Il reconnut le sceau de la famille « Flat » et la contacta. Un homme blond vint, un jour plus tard, chercher Ed.
« Je voulais justement adopter un enfant....celui-ci m'a l'air très bien...Comment t'appelles-tu, petit ? »
La femme à ses côtés, celle qui l'avait forcé à se laver ouvrit la bouche. Ed ne répondait pas.
- C'est une fille...ce gosse, c'est une fille...
Un sourire apparut sur le visage de l'homme qui, loin d'être un bienfaiteur (ou un malfaiteur d'ailleurs) comme vous pourriez le penser, avait depuis quelques mois décidé qu'il allait adopter un enfant à la peau mat pour s'attirer les faveurs de la bonne société. Il était bien vu de venir en aide à son prochain.
« Très bien, je vois. Et bien, mon enfant, tu t'appelleras Ed. Ed Flat. Tu diras à tout le monde que tu viens d'Afrique. Du Mali. Et que je suis venu pour t'aider, toi et ta famille. Dis-leur la moindre chose sur le médaillon et tu le regretteras. »
Le sourire revint sur son visage, après cette terrible phrase comme le soleil après une tempête. L'enfant hocha lentement la tête, son regard furtif regardant tout ce qu'il pouvait y avoir autour de lui : il cherchait probablement une voie pour fuir, un endroit où passer pour échapper à ce qui l'attendait. Malheureusement, on n'échappe pas à son destin. Les jours suivants, on le vêtit de belles robes, les gouvernantes essayèrent tour à tour de lui donner une éducation convenable – du moins un début d'éducation. Ed était un enfant qui détestait écouter. En ces temps, les punitions corporelles n'étaient pas rares, et il passa souvent, trop ?, par là. Il finit par se taire, se disant qu'il finirait bien par s'en sortir, un jour, par revoir ceux avec qui il avait grandi.
De dîners en dîners, de leçons en leçons, l'enfant grandit. Deux ans passèrent, il eut 12 ans. Cette année fut marquée par la mort de l'homme qui l'avait recueilli. Crise cardiaque. Il s'effondra un beau jour de printemps brusquement. Aucune chance de le sauver. Pour Ed, ce fut un peu plus dur pour la suite. La petite africaine qui était présentée comme un acte de charité, plus personne n'en voulait. Ils lui prirent ses vêtements, lui redonnèrent les vêtements qu'elle portait avant et l'emmenèrent « à la campagne ». Ils le laissèrent en plan, tout seul, là, à cet arrêt de bus, puis, Ed aperçut cette maison, ce domaine. Et le portail...
Ed le poussa, entra. Lorsqu'elle voulut retourner sur ses pas, il retourna sur le même point où il était précédemment. L'enfant écarquilla les yeux, tenta une demi-douzaine de fois de fuir, sans y parvenir. Essoufflée, elle finit par abandonner, et se rendit jusque dans la bâtisse. Tout se déroula ensuite comme sur des roulettes. L'enfant se fit passer pour un garçon, prit le rythme de vie avec ses tous nouveaux camarades. Oh, il ne se mêlait pas vraiment aux autres au début. Il était sauvage, piquants hérissé. Parfois, il n'hésitait pas à foutre des baffes. Mais la présence de ces créatures le calmait car...il en avait peur. Plus que tout.
Zèbre "Mais je te dis que Google va anéantir le moooonde !"
| ▬ Âge : 21 ans ▬ Sexe : Nop msieur ▬ Double compte ? Nop msieur ▬ Comment avez vous connu le forum ? Dans un café, autour d'un chocolat. ▬ Qu'en pensez vous ? Voyez vous des améliorations à apporter ?Pour l'instant j'vois pas, j'dirais quand j'aurais des idées. Juste un truc pour le code de la préza. Ptete faire un peu plus de CSS passque là ya tout les styles html qui s'emmêlent et c'est bizarre. Vive le CSS :D (j'ai eu un problème pour la première ptite image 100*100, quand j'essaie de la changer, on voit rien alors que j'ai bien hébergé l'truc et tout e_e) ▬ Autre chose ? Atchoum !
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Ed Flat
♣ Jardinier ♣
Rang : 5 Totem : Musaraigne Messages : 64 Age : 32 Pseudo : Zèbre
Once upon a time Âge du personnage: 12 ans Date d'arrivée à Cloverfield: mai 1941
| Sujet: Re: Ed Flat - Beyoncé à l'orphelinat Dim 7 Avr - 21:43 | |
| Merciiii <3 Contente que ça plaise, j'en avais marre des tous ces persos sans couleurs, et d'ailleurs, j'ai mis v'là de temps à trouver une image qui aille. Et encore, j'ai foncé celle-là. Merci Jezabel pour la recherche. J'serais enchantée de rp avec toi, c'est toujours très agréable. (je dis "toujours", même si au fond, on n'a jamais fait qu'un seul rp et pas fini. Mais c'est toujours agréable de te lire en tous cas :D) (et j'me dis souvent aussi que je joue pas assez de filles alors là, voilà 8D) J'vais donc faire tout ça et poster une demande de rp très rapidement ! <3<3 |
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