Alistair - I'll stand by your side, till death do us part



 
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 Alistair - I'll stand by your side, till death do us part

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Alistair L. Knight

Chevalier Aristocratique
Alistair L. Knight
♣ Chevalier Aristocratique ♣


Rang : Chevalier
Totem : Epervier
Messages : 124
Age : 30
Pseudo : Versatile

Once upon a time
Âge du personnage: 16 ans
Date d'arrivée à Cloverfield: 1er septembre 1939

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MessageSujet: Alistair - I'll stand by your side, till death do us part   Alistair - I'll stand by your side, till death do us part Icon_minitimeDim 30 Sep - 1:22

PREDEF


Say where is my shame.
"Feat. Kida Masaomi"


Alistair - I'll stand by your side, till death do us part Iconer
▬ ÂGE : 16 ans
▬ DATE DE NAISSANCE : 23 avril 1925
▬ CATÉGORIE : Lower Class
▬ RANG : Chevalier aristocratique
▬ DATE D’ARRIVÉE A CLOVERFIELD : 1er septembre 1939
▬ PÉCHÉ MORTEL : Colère
▬ TOTEM : Epervier



Tear me apart.
"I'm sure I would have enjoyed your cries of ecstatic agony."

Alistair, c’est un peu le gamin trop calme, trop silencieux, voire même trop discret. Celui qui reste à l’écart et qui observe ce qui se passe, adossé à un mur. « Loin de la foule, loin des problèmes » : credo, ma foi, fort intéressant qui pourrait parfaitement s’appliquer à ce jeune garçon. Il ne recherche pas forcément le contact humain – ce qui ne veut pas dire qu’il est un asocial fini, loin de là. Toujours poli et aimable, il est le type d’enfant bien-élevé dont rêvent la plupart des parents. A l’aise dans les conversations, pouvant faire preuve d’élégance quand il le voulait. Enfin, tout ceci, c’est quand tout va bien. Et les choses vont rarement bien, dans la vie, n’est-ce pas ?

Reprenons. Alistair est un garçon calme et discret, élevé dans les règles de l’art et faisant honneur à cette éducation ô combien stricte… Uniquement lorsqu’il ne protège personne. Tout cela disparait dès qu’il devient le gardien de l’intégrité physique d’un individu. Aucune discrimination, il aide tout le monde. Même le gamin qu’il a tabassé la veille parce qu’il a tiré les tresses d’une fillette apeurée. Enfin, ça, c’était avant le règne de Lucifel et d’Amity. Maintenant, il ne protége que l’Aristocratie. Même si parfois, il lui arrive encore d’assister quelques orphelins. Les anciennes habitudes disparaissent difficilement. Pourquoi un tel besoin de défendre tout être vulnérable qui se présente à lui ? Inutile d’aller chercher bien loin, traumatisme d’enfance. Ou simple volonté d’apparaitre comme un Chevalier galant auprès de ces demoiselles en détresse. Il fallait avouer que ses rêves de gloire éternelle ne l’avaient quitté.

Ainsi, il dévoile ses instincts les plus bas dans ces moments. Lui qui semblait si posé, montre alors qu’il n’en est rien : il devient susceptible et coléreux. Il ne supporte pas l’insolence et sûrement pas de la part des agresseurs de ses protégés. Dans des moments pareils, il use volontiers de violence physique, plus que verbale. Sa propension à s’irriter très rapidement lui empêche de rester calme face à des provocations. Très impatient, il ne supporte pas vraiment les temps morts. Paradoxalement, il peut rester des heures entières à fixer le paysage, laissant courir son imagination débridée. Gloire éternelle, demoiselles en pamoison sur son passage, héros de guerre ? Personne ne sait. Mais dans ces moments, il vaut mieux éviter de le déranger. Simple conseil. Il déteste qu’on le tire de ses pensées – sauf en cas d’urgence, à savoir la Rafined Class. Toute autre personne s’expose à… son mécontentement. Malgré tout, il dispose d’une certaine maîtrise de soi. Il ne commencera pas à frapper tout ce qui bouge lors du petit-déjeuner parce que la foule désorganisée l’a fait attendre quelques minutes de trop avant qu’il puisse s’asseoir. Quand même pas. Il se contentera de lanecr un regard noir à toute personne croisant son chemin tout en grommelant d’indistinctes paroles, probablement des menaces.

Malgré tout, Alistair reste quelqu’un de très sûr, en qui on peut avoir confiance. Assez taciturne, il garde pour lui ce qu’on lui confie. Sauf si cela nuit à l’Aristocratie, évidemment. Pas vraiment du genre à faire du mal pour rien, tant qu’on ne le cherche pas lui ou ceux qu’il protège, on ne s’expose à aucun risque. En théorie.


Y'know what ?
"Be a good lad and maybe you'll get to know me."

  • Que pensez-vous de la Royauté ? Alistair est extrêmement sensible au prestige de la Royauté. Qu’elle soit réelle ou façonnée par son esprit toujours à la recherche d’un objet à préserver, d’ailleurs. Bien sûr, c’est plus compliqué, plus nuancé aussi. Il n’approuve pas forcément leurs décisions, mais son rôle n’était pas de juger : il est persuadé qu’ils savant ce qu’ils font, et qu’il y a une bonne raison à leurs méthodes les plus cruelles.
  • Que pensez-vous de l'Aristocratie ? S’il respecte la Rafined Class, il en va tout autrement pour la Lower Class. Hormis les chevaliers, qu’ils considèrent comme ses égaux, il faut bien avouer qu’il n’éprouve pas réellement de sympathie pour les autres. Les Valets ne sont que de simples larbins à ses yeux et ne parlons même pas des Fous, qu’il méprise profondément. Il ne comprend même pas que des orphelins puissent obtenir des avantages, juste en raillant et en faisant rire. Autant leur demander cela gracieusement.
  • Quel est votre sentiments sur Le Sycophante et les Remords ? Des monstres, rien que ça. Evidemment, il n’avait pas peur – pourquoi éprouver de la frayeur quand on sait que c’est le meilleur moyen de mourir ? – mais il éprouvait une curiosité grandissante à leur égard. Il n’hésitera pas un instant avant de les affronter s’ils croisent son chemin : l’attaque est la meilleure des défenses. Cependant, il ne fera rien pour les attirer sciemment. Pas fou, non plus. Ni suicidaire, d’ailleurs.
  • Quel est l'investissement de votre personnage dans la course aux privilèges ? Il se tenait à l’écart de tout ça. Déjà parce que son rôle lui convenait parfaitement – on lui fournissait une arme et des cibles, que demander de plus ? – mais également parce qu’il respectait trop la royauté pour comploter contre elle. Bon évidemment, s’il était réellement honnête avec lui-même, il avouerait qu’il enviait quelque peu le pouvoir et les privilèges attribués à la Rafined Class. Une chance qu’il ne le soit pas.


Rotten golden heart.
"Don’t you wanna hear the awesome tale of the Knight who didn’t care about widows, as long as he had orphans to play with ?"

Once upon a time, in a peaceful kingdom, lived a knight, his wife, the fair lady, and their two children. The elder one was a beautiful girl, soft skin and blue eyes, but alas, she was always sick. Her weakness prevented her from playing in the garden, where colorful flowers were blooming. The youger one, on the contrary, was strong and healthy, full of joy, and above all, he loved his sister. He kept bringing lilies and white roses : if she couldn’t go and pick them, at least she could enjoy their smell.

« Ça suffit, Alistair ! Combien de fois devrais-je te dire de ne pas arracher les fleurs du jardin ! »

Le cri de colère fut superbement ignoré par le jeune garçon blond, qui se précipita dans la chambre de sa grande sœur. Encore une fois, cette dernière était alitée, un tissu blanc humide reposant sur son front brûlant. En entendant le raffut provoqué par son petit frère, elle ne put s’empêcher de s’esclaffer brièvement, avant que son rire ne se transforme en toux. Alistair n’avait cessé de lui apporter des fleurs depuis qu’elle lui avait fait part de sa tristesse de ne pouvoir descendre elle-même dans le jardin pour s’en occuper. En réalité, c’était plus un pauvre carré de terre qu’un réel jardin – ils n’étaient pas très riches, après tout. Le jeune enfant s’installa à côté du lit et commença à lui raconter tout ce qu’il avait fait pendant la journée, après avoir déposé son précieux chargement sur la table de chevet. Il ne quitta la chambre que lorsque sa mère le tira hors de la chambre, le grondant parce qu’il empêchait sa sœur de se reposer. Mais il ne faisait pas attention aux nombreuses réprimandes : le sourire de Lily valait bien toutes les punitions au monde.

Ils étaient étonnamment proches, malgré leur caractère radicalement opposé. Elle était la seule personne en qui il avait réellement confiance. Il n’avait confié qu’à sa sœur ses rêves les plus fous. Ses ambitions. Un jour, il deviendrait un grand chevalier. Eh ouais. Même si c’était passé de mode et que ça n’existait plus que dans les contes de fées. Un jour, on le reconnaitrait à sa juste valeur et on arrêterait de le gronder comme s’il n’était qu’un enfant irresponsable. Car entendons-nous bien : Alistair n’est pas inconscient. Il était juste un peu… turbulent, c’est tout. Pas de quoi en faire tout un plat. Et puis même, il deviendrait tellement grand et fort qu’il épouserait la princesse Elizabeth et il aurait un titre de noblesse. Ce n’était certes pas aussi attirant que d’être un chevalier qui parcourt les royaumes en quête d’aventure, mais c’était mieux que rien. Ses histoires faisaient rire sa sœur, ce qui le remplissait de joie et le confortait dans ses rêves de gloire. Et puis, elle passait beaucoup de temps à lui raconter les histoires de la Table Ronde, c’était bien une preuve qu’elle l’encourageait dans cette voie, non ?

One day, the knight took his family on a small trip. But a vicious witch, full of hatred and jealousy, cast a terrible curse on the family…

Le jour se levait à peine qu’Alistair était déjà hors de son lit, habillé de pied en cap. Il ne tenait plus en place, passant d’une chambre à une autre, faisant fi des menaces exaspérées de sa mère et des réprimandes amusées de son père. Aujourd’hui, son père avait décidé de les emmener à la campagne. Un des amis de son père entretenait d’excellentes relations avec un fermier, habitant à quelques kilomètres de la ville et il avait réussi à le convaincre de les accueillir, juste pour quelques heures. Mais peu importe, pour le jeune garçon, c’était synonymes de voyage et d’aventures fantastiques. Il était persuadé qu’il trouverait un méchant à combattre. Et peut-être même une princesse à sauver.

Le voyage se déroula dans le calme et la bonne humeur. Même Lily semblait être en forme, loin de l’air vicié de sa chambre. Alistair s’était légèrement calmé, absorbé par la contemplation des paysages qui défilaient. Tant de nouveauté… Il en pleurerait presque de joie. Une fois arrivés sur place, les parents leur laissèrent champ libre, avec tout de même quelques consignes. « Surtout n’allez pas trop loin. Et toi, Alistair, veille à ce que ta sœur ne se fatigue pas trop. » Evidemment qu’il veillerait sur elle, pour qui le prenaient-ils ? Et c’est ainsi qu’ils partir à la découverte des lieux. Aucun des deux enfants ne vit le temps passer. Vers midi, leur mère les appela : le déjeuner, une fois n’est pas coutume serait pris dehors, à côté d’un ruisseau pas très profond. Ils auraient mieux fait de s’abstenir.

Lily perdit l’équilibre. Nul ne sait réellement ce qui s’est passé. Avait-elle trébuché ? S’était-elle évanouie de fatigue, suite à la matinée mouvementée ? Peu importe, au fond, le résultat est le même. Elle tomba dans le ruisseau, quasi inconsciente, entraînée par le faible courant. Aussitôt, Alistair plongea dans l’eau, pour sortir sa sœur de ce mauvais pas. Il ne réfléchit pas aux risques que présentaient son acte : seul comptait la vie de sa sœur. Avec l’aide de son père, il parvint à ramener la jeune enfant sur la terre ferme, où sa mère, folle d’inquiétude, commença à frictionner la rescapée, histoire de la sécher et de la réchauffer. Ils rentrèrent immédiatement chez eux, maudissant intérieurement ce jour.

Les jours passèrent. Si Alistair n’avait attrapé qu’un simple rhume à cause de sa baignade forcée, Lily, elle, avait contracté une sévère pneumonie. Son état, loin de s’améliorer grâce aux traitements du médecin, s’aggravait. Elle s’affaiblissait et finit par s’endormir pour l’éternité, emmenant avec elle la joie et la bonne humeur de son petit frère. Le jeune garçon se blâmait pour son incompétence. Il n’était pas parvenu à sauver sa sœur. Que genre de chevalier faisait-il ? Jamais il n’aurait l’étoffe d’un vrai héro, c’était certain. Même si ses parents ne lui avaient aucun reproche, son père l’avait même félicité pour son acte courageux, il sentait bien qu’il régnait une sorte de malaise dans la maison, indépendamment du deuil porté par la famille. Surtout en compagnie de sa mère, en fait.

The little boy grew up and became stronger than his father. He was always willing to help people, who were queuing up for protection and safety.

Encore une chemise déchirée et tachée de sang. Il n’aurait probablement pas dû se battre contre ce type, qui faisait deux fois son poids. Mais il n’avait pas apprécié la manière dont il avait rudoyé son ami. Ami qui s’était éclipsé dès que les problèmes (à savoir, un adulte) avaient pointé le bout de leur nez. Tu parles d’une solidarité à toute épreuve. Malgré tout, il ne regrettait rien. Au contraire. C’était presque jouissif de voir que les enfants de tout âge venaient le voir, parce qu’ils se sentaient en sécurité à ses côtés. Il n’échangerait ça pour rien au monde. Et puis, ses parents n’avaient pas vraiment à se plaindre : en général, il se comportait bien, il les écoutait, travaillait bien à l’école. Son père était extrêmement fier de lui, d’ailleurs. Louant sa carrure et sa force, il lui disait souvent qu’il ferait un bon soldat, qu’il devrait intégrer l’armée pour protéger son pays et sa Majesté George V. Lui, ça lui plaisait bien, comme avenir. Il se voyait déjà héros de guerre, décoré par le Roi lui-même. Sa mère, c’était une autre histoire. « Notre fille nous a déjà quitté et tu veux que ton fils te quitte aussi ? » C’était amusant, mais il avait remarqué que Lily était « leur » fille, alors que lui, n’était que le fils de son père. Mais il n’y pensait pas, bien trop occupé à faire son petit bout de chemin dans la vie.

Il ouvrit la porte de leur maison et se figea net. Des sanglots convulsifs se faisaient entendre depuis le salon. Sa mère pleurait. Elle qui n’avait jamais montré le moindre signe de faiblesse était écroulée, en larmes, une bouteille à moitié vide à la main. Que s’était-il passé ? Il s’approcha doucement, ne sachant pas quoi faire. « Mère… »

« Tais-toi ! Ne m’appelle pas comme ça ! » Quoi ? Pourquoi ? Confus, il ne comprenait pas ce qui se passait. « Que s’est-il passé ? » demanda-t-il, inquiet. Curieusement, il n’avait pas envie de connaître la réponse, il voulait juste partir en courant, loin d’ici, pour ne pas entendre les prochains mots qu’elle prononcerait. « Ton père est mort. » Voix sèche, tranchante. Loin de la voix brisée et tremblante à laquelle il s’attendait. « Merde, comment-il a pu me faire une chose pareille ? Me laisser seule, avec toi ! » Mépris sur le dernier mot. Alistair se sentait de plus en plus confus. La tristesse qu’il aurait dû éprouver ne venait, occultée par l’étrange attitude de sa mère. Il n’osait même pas parler. Elle but une gorgée du liquide ambré qui dansait dans la bouteille avant de reprendre la parole. « Tu comprends pas, hein ? Y a rien à comprendre, pourtant. Même un gars stupide comme toi devrait piger. » Piger quoi ? Il lui jeta un regard interrogateur et légèrement apeuré.

« T’es pas mon fils, voilà, t’es content ? J’l’ai dit. T’es pas mon fils. T’es juste le gosse que ton père a eu avec une pute qu’il a rencontré dans la rue. » Une nouvelle gorgée, plus longue, cette fois. « Et il t’a ramené, un matin, comme ça, m’expliquant qu’il ne pouvait pas te laisser seul, que tu mourrais. Et moi, comme une idiote, je t’ai accepté sous mon toit. T’as apporté la malédiction de cette catin avec toi, ça, c’est sûr. C’est à cause de toi qu’elle est morte. » Ces mots l’atteignent en plein cœur. Cette hantise dont il n’avait parlé à personne, cette crainte qu’il ne soit responsable de la mort de sa sœur, tout est confirmé. Lui, le chevalier, avait provoqué la mort de celle qu’il avait le plus aimé. Cette fois, la douleur l’étreignit, l’enserrant de ses bras glacés. « C’est toi qu’aurait dû mourir à sa place. » En effet.

The fair widow decided to send her son far far away. It was the only way to get rid of the curse, she thought. Her daughter and her husband were resting in peace, burried in the small cemetery behind the hills. She could leave for evere : nothing was holding her back anymore.

Il ne savait pas réellement comment elle s’était arrangée, mais les faits parlaient d’eux-mêmes : il avait été déclaré orphelin. Il se demandait si sa mère avait eu beaucoup de mal à convaincre les autorités qu’il n’était pas son fils. Probablement pas : ils ne se ressemblaient pas, mine de rien. « Le portrait craché de ta catin de mère » voilà ce qu’il était, d’après elle. Ça ne lui faisait plus rien, maintenant. Il pensait souvent à sa vraie mère. Qu’était-elle devenue ? Elle n’avait sûrement pas eu de chevalier pour la sauver. Et il se disait, non, il se promettait qu’il ne laisserait personne dans le besoin, qu’il ferait tout pour les défendre, quoiqu’il arrive.

Un matin, il se réveilla enseveli sous une pile de vêtement. Se levant avec difficulté, il comprit brutalement que quelqu’un avait vidé son armoire et jeté pêle-mêle ses vêtements sur lui. Il sentit plus qu’il n’entendit une lourde valise racler le sol. Sa mère entra et lui désigna d’un coup d’œil de faire ses bagages. Obéissant, il s’exécuta, sans comprendre ce qui se passait. Partaient-ils en vacances ? Déménageaient-ils ? Brutalement, l’évidence s’imposa d’elle-même, chassant les brumes de son esprit encore ensommeillé. Il était orphelin, maintenant. On l’envoyait sûrement dans un orphelinat. Logique. Il ne parvenait pas à concevoir qu’elle voulait se débarrasser de lui : il avait toujours été un bon fils, non ?

Cloverfield. Un nouveau départ dans sa vie. Un endroit comme un autre, somme toute, où il pourrait protéger les faibles. Comme il l’avait fait jusqu’à présent. Pourquoi est-ce qu’il s’acharnait ainsi à protéger les autres ? Etait-ce pour prouver qu’il méritait de vivre ? Ou bien pour combler l’absence de sa sœur ? Il ne le savait pas lui-même. Tout ce qu’il pouvait dire, c’était que cela lui avait permis d’accéder au rang qu’il convoitait depuis qu’il était enfant. Chevalier. A croire que son nom le prédestinait à ce rôle. « T’as vu, grande sœur ? J'y suis arrivé. »

And they all lived happily ever after...



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MessageSujet: Re: Alistair - I'll stand by your side, till death do us part   Alistair - I'll stand by your side, till death do us part Icon_minitimeDim 30 Sep - 18:24

Ayé, fiche finie ! \o/
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MessageSujet: Re: Alistair - I'll stand by your side, till death do us part   Alistair - I'll stand by your side, till death do us part Icon_minitimeDim 30 Sep - 21:48

Ma foi, cette fiche est parfaite, rien à redire ! Tu es donc validé~

Si le cœur t'en dis, tu peux poster une fiche de relations pour Alistair ici, demander un rp et suivre l'intrigue en cours et fêter l'arrivée de la nouvelle princesse ici ♥ N'oublie pas d'envoyer la (les) bêtises/hontes d'Alistair au Sycophante~ !
N'oublie pas de poster les formulaires correspondants dans le bottin des avatar, les postes à pourvoir et la liste des totems pour réserver ton avatar, ton travail à Cloverfield et ton totem !

Bon jeu ♥
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Alistair L. Knight

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MessageSujet: Re: Alistair - I'll stand by your side, till death do us part   Alistair - I'll stand by your side, till death do us part Icon_minitimeDim 30 Sep - 22:26

Yay, merci beaucoup ! ♥
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MessageSujet: Re: Alistair - I'll stand by your side, till death do us part   Alistair - I'll stand by your side, till death do us part Icon_minitimeDim 30 Sep - 22:36

De rien, je te mets ton rang tout de suite ! :happy
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MessageSujet: Re: Alistair - I'll stand by your side, till death do us part   Alistair - I'll stand by your side, till death do us part Icon_minitime

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